Ses principes de base ont été développés à partir de quelques axes fondamentaux :
– La finalité du C S C, de toute action ou institution ou législation, c’est l’HOMME :
- tout homme, sans exception, ni distinction, ni préférence en raison de sexe, race, nationalité, couleur, foi religieuse ou idéologie sécularisée,
- tout l’homme, sans réduction ou négligence des exigences de ses trois dimensions : corporelle, psychique et spirituelle.
– L’être humain personnel n’a pas le droit donc d’instrumentaliser, d’exploiter, de dominer un autre être personnel, ou une communauté ou une société,
– Comme une communauté, une société n’a pas non plus le droit d’instrumentaliser, d’exploiter, de dominer un être humain seul, ou en communauté ou en société.
– La finalité bonne, quelque sublime qu’elle soit , ne justifie pas des moyens mauvais, c.à.d. qui risquent d’instrumentaliser, d’exploiter, de dominer un être humain, une communauté, une société.
– « Tout ce que nous voulons que les hommes fassent pour nous, faisons-le, nous-mêmes pour eux. »
Tout ce que nous ne voulons pas que les hommes ne fassent pas pour nous, ne le faisons pas pour eux.
– Les grandes valeurs humaines – comme l’autonomie, la liberté, l’égalité, la justice, la solidarité, la démocratie, la sécularité, etc.… sont :
- très difficiles à réaliser, mais non impossibles,
- parce que non impossibles, nous devons les assumer, les promouvoir en nous et autour de nous, au niveau des personnes, des communautés, des pays.